mercredi 27 août 2014

"Il n'y a pas d'oeuvre d'art sans collaboration du démon."


Terrible chose que de se retrouver à deux doigts du plaisir sans pourvoir l'atteindre. Mon corps tout entier est chargé d’électricité, une légère tachycardie se fait sentir, mes narines se dilatent et tentent de capter quelques molécules perdues.
Mes mains tremblent encore. La solitude après une journée éprouvante est comme un congénère scorpion que l'on rencontre, c'est tout ou rien. La première impression est souvent la bonne, alors il ne reste plus qu'à extérioriser. Cracher les émotions sur une page blanche -j'aimerais mieux cracher au visage de l'autre catin-, reprendre son crayon papier, sortir la guitare de sa housse et laisser parler l'adrénaline puisqu'on ne peut la stopper.
Ce soir, je ne veux pas être seule. C'est là que ma schizophrénie m'arrange.
Avec diverses personnalités comme alliées, je dédirai cette chanson à ce désir sournois.
A l'inaccessible.

Pour que le temps passe vite mais il ralentit, mon métronome me le dit
mais c'est ma tête qui le pense ou bien qui le crie, qu'elle est pressée d'être partie
  Parce que j'me lèverai tôt et j'm'injectrai ma dose, de micro, d'over-proses 
Jusqu'à ce qu'ils soient mes rêves 
C'est ma clope, mon shit, ma dose, ma weed, ma coke, mon speed, mon crack, ma musique


Souffle saccadé
Voilà qui laisse deviner
Que tout se décide cide cide
Maquillé comme à la craie
Tout détonne et tout me plait
Les mains sont livides vide vide vide

Un seul  de tes poignets est tatoué
Défiguré par ta manche
Le lion ne sourit qu'à moitié
A mes solitudes immenses
Ton visage ne sera jamais entier
Comme tu regardes au dehors
J'emporte un portrait dévoré
Douleur destin bord à bord
 
 Here's my station
But if you say just one word i'll stay with you

La belle attitude
Que l'impatience comme certitude, collier à trois fils
Tu seras j’espère fidèle au violences qui opèrent
Dès que tu respires pires pires

D'ordinaire cette ville n'offre rien
Qu'une poignée d'odeurs tenaces
Que cette ville est morte
Je sais bien, toi seul garde de l'audace
Il faudrait que tu la portes loin
Alors que d'autres renoncent
Je descends deux enfers plus loin
Pour que l'orage s'annonce

Here's my station
But if you say just one word i'll stay with you




mercredi 20 août 2014

CätCät - Kisses (Villanova Remix) [feat. Mary H] ❤



Mieux vaut tard que jamais, le travail montre enfin le bout de son nez! Au revoir nuit blanches débauchées, découvert et ennui, bonjour tenue de travail, réveil le matin et salaire.  Qui aurait cru que travailler dans la restauration rapide pouvait être aussi plaisant? Comme le dit si bien mon ami imaginaire : "Du taff et du cash, c'est le plus important!"
 Vivement la fin du mois pour faire péter les fringues, le champagne et la disco !



" Est- ce qu'un schizophrène a quand même besoin d'un miroir? 
Peut-on voyager à la vitesse de la lumière dans le noir? "

Alors (très) lentement j'avance. Les années passent pendant que tapie dans l'ombre, j'observe, j'apprends, je progresse. Une des voix dans ma tête me dit que tu t'en doutes. Dans mon idéal, tu doutes. "Ça ne fait pas un pli."


If you want to hang out, youve got to take her out, cocaine
If you want to get down, get down on the ground, cocaine
She dont lie, she dont lie, she dont lie, cocaine
If you got bad news, you want to kick them blues, cocaine
When your day is done and you got to run, cocaine
She dont lie, she dont lie, she dont lie, cocaine
If your thing is gone and you want to ride on, cocaine
Dont forget this fact, you cant get it back, cocaine
She dont lie, she dont lie, she dont lie, cocaine 


vendredi 15 août 2014

"La liberté se vit dans les champs la tête la première dans les enceintes."



Après trois-quatre ans sans être allée en teuf, je me prépare aujourd'hui à partir pour 48h  brûler calories & neurones. Pourvu que mon corps tienne.


A quoi servent les principes sinon à restreindre notre liberté ?





Knocking on my door was an evil silhouette
Knocking this morning a black silhouette
Knocking on my door was an evil silhouette
And his eyes were glowing like two lit cigarettes 

Me and the devil were standing side by side
I looked in the mirror into my own eyes
Me and the devil were standing side by side
He held out his claws and I began to rise

I got me and the devil blues
Me and the devil blues
"I know you know it's time to go"
I got me and the devil blues
Me and the devil blues
Me and the devil blues
"I know you know it's time to go"
I got me and the devil blues




mardi 5 août 2014

" La mémoire fait ce qu’elle veut avec les matériaux qu’on lui donne à la casse, ça la regarde, on n’a pas à fourrer son nez dans ses affaires. "



"Je vais vous raconter une histoire de scorpion. Le scorpion voulait traverser une rivière et il demanda à la grenouille de le transporter. "Non, répondit la grenouille, non, très peu pour moi. Si je te prends sur mon dos, tu me piqueras et la piqûre du scorpion est mortelle. -Voyons, où est la logique dans tout cela? dit le scorpion, qui est un animal très logique. Si je te pique, tu mourras, et je me noyerai avec toi ." Alors, convaincue, la grenouille prit le scorpion sur son dos.  Au beau milieu de la rivière, elle sentit une douleur atroce, et comprit que le scorpion l'avait piquée. Elle commença à couler, entraînant le scorpion avec elle, et s'écria: " Où est la logique dans tout cela? -Je sais bien, dit le scorpion, mais que veux-tu, je ne peux pas m'en empêcher... c'est ma nature qui veut ça"


J'ai besoin d'air mais je ne veux pas rester seule. A force de se faire des films, on ne distingue plus la fiction de la réalité, ce qui ajouté à un dysfonctionnement de l’œil droit dû à une migraine ophtalmique, fout un peu le bordel dans une journée.*Suzette fait-moi des crêpes ♪*

- Je me suis fait un nouvel ami aujourd'hui.  
- Réel ou imaginaire?
- Imaginaire.



 Party girls don't get hurt
Can’t feel anything, when will I learn
I push it down, push it down

I'm the one "for a good time call"
Phone’s blowin' up, they're ringin' my doorbell
I feel the love, feel the love

1,2,3 1,2,3 drink
1,2,3 1,2,3 drink
1,2,3 1,2,3 drink

Throw em back, till I lose count

I'm gonna swing from the chandelier, from the chandelier
I'm gonna live like tomorrow doesn't exist
Like it doesn't exist
I'm gonna fly like a bird through the night, feel my tears as they dry
I'm gonna swing from the chandelier, from the chandelier

And I'm holding on for dear life, won't look down won't open my eyes
Keep my glass full until morning light, cause I'm just holding on for tonight
Help me, I'm holding on for dear life, won't look down won't open my eyes
Keep my glass full until morning light, cause I'm just holding on for tonight
On for tonight

Sun is up, I'm a mess
Gotta get out now,
Gotta run from this
Here comes the shame, here comes the shame

1,2,3 1,2,3 drink
1,2,3 1,2,3 drink
1,2,3 1,2,3 drink

Throw em back, till I lose count