Vern-sur-seiche, Bordeaux, Paris, Pérou, Canada, ou peut-être ailleurs. S'il y a bien quelque chose d'inconnu et d'imprévisible, c'est l'endroit où j'atterrirai en septembre. Je dois avouer que la seule solution que j'ai trouvée pour ne pas paniquer est de fumer du matin au soir en cherchant du boulot. Et oui, fatalement, après ces années sabbatiques me voilà réellement en recherche d'une vie active. Même s'il n'y a qu'une chance sur un million pour que la tournure finale soit agréable, j'y crois, je le sens bien, j'suis tout-terrain. Intuition ou neurones cramés, on verra ça à la rentrée.
There's a lot to learn
For wastin' time
There's a heart that burns
There's an open mind.
For wastin' time
There's a heart that burns
There's an open mind.
Look out for my love
It's in your neighborhood
I know things are gonna change
But I can't say bad or good.
It's in your neighborhood
I know things are gonna change
But I can't say bad or good.
Non, si un chat noir m'a suivie sur le trottoir, que ma plaque est brisée, que je joue en boucle la chanson de Tom Adams et qu'il est 23h48, ce n'est pas une mise à l'épreuve de Sheitan. Oui je resterai dans la réalité même si je suis seule, que je fume trop et qu'il fait nuit noire. Bim, dans ta gueule schizophrénie. Et vendredi grosse défonce, dans ta face réalité. (Donnant-donnant.)
I've seen the needle and the damage done
A little part of it in everyone
But every junkie's like a settin' sun.
A little part of it in everyone
But every junkie's like a settin' sun.
Rock and roll is here to stay
It's better to burn out
Than to fade away
It's out of the blue and into the black
They give you this, but you pay for that
And once you're gone you can never come back
When you're out of the blue
And into the black
They give you this, but you pay for that
And once you're gone you can never come back
When you're out of the blue
And into the black