dimanche 12 juin 2016

"Il faut essayer dans la vie d'être de l'eau qui sent la pluie."



Off in my head, lost off in my head

Lost all my arms, lost lost all my legs
Lost is my heart, but my new soul stay
We're singing off in my head
Lost, off in my head
Off in my head, lost

Through our windows
 Okay.
Oh, aw man, I can't believe this is happening!
 (ah ah!)

Do we really know the way the wind blows?
All we're really safe around are shadows?

But I'm aware, and I don't care
And I'm aware, yeah!
Enivrés du soir, bonsoir. 
Si je ne m'étais pas interdit de reparler de lui, je vous raconterais que ce 28 mai ou j'ai pris la décision de l'effacer de mes rêves, il a décidé de réapparaitre sur son facebook. Le même jour. Et après bien sûr nous dirions qu'il n'y a pas de coïncidence puisque la vie n'a aucun sens. Forcément, juger d'insensé ce que l'on ne comprend pas est plus simple. Oh, j'ai pensé lui envoyer un message bien sûr, mais il ne m'inspire plus tellement. "Holà connard, alors on est vivant?" Pas terrible. M'enfin, de toutes manières, en rentrant d'Espagne, je ne ferai pas de détour, c'est décidé. Dossier classé. 
Et classé avec moins de difficultés que prévu. Et pour cause, ce fameux déni. 
 Après deux-trois jours à me regratter les coudes, j'ai compris. C'était pas lui. Bravo Sherlock!
Ça aurait été tellement plus facile, que ce soit lui, et que je t'oublie toi. Mais non, la vie est nulle et tu m'obsèdes encore. J'ai besoin de personne pour être seule.

"- Quand je suis malheureux, tout le monde s'en fout. 
- Sois heureux, et fous-nous la paix!
- Quand je suis heureux, c'est encore pire, tout le monde me fait chier."
Take you like a drug
Taste you on my tongue
Ask me what I'm thinking about
I'll tell you that I'm thinking about
Whatever you're thinking about
.

C'est fou, je crois que depuis que j'ai goûté à ta peau, je n'arrive plus à parler de toi. J'écris, j'efface, te retrouve pour te perdre encore. Alors, à cours d'explication, j'essaie de te haïr pour ne pas te demander en mariage. Je me demande si tu me lis, j'en meurs d'envie pour que tu vois comme tu prends de la place, mais à l'idée que tu le vois, je panique et me retiens de cracher ici ce que je ressens. 
Alors, je me dis qu'après tout, c'est l'Univers qui nous attache l'un à l'autre, puisqu’il est clair que cette relation n'arrange personne. Nous ne pouvons rien faire, face à l'Univers. Mais peut-être qu'encore une fois je délire, peut-être que je suis dingue. Alors, alors, alors. 
Alors c'est encore à travers quelques paroles que je te dévoilerai mon cœur, puisque si ça se trouve, tu passes ici de temps en temps. Encore ce soir, je te parlerai à travers ces quelques chansons, comme je le fais depuis déjà quelques années -une éternité-.
Au delà de ma raison, tu voles, et révèle la pureté de mes intentions. 
Ma sérénité et la tienne, ensemble ou séparés pourvus que sereins.
Au delà du réel, tu planes, en élite indétrônable. 
Et si tu as eu l'intention de parcourir mes lignes, et bien c'est cadeau pour ton égo. 


Demain, je pars en Espagne. Tu m'as laissée malgré toi -ou bien en pleine conscience c’est pire mais alors marions-nous donc- penser que tu viendrais peut-être, mais mon palpitant et mon âme sont reliés par un petit nœud au niveau de mon œsophage, ce qui me fait douter de ta venue. Oui, c'est compliqué, c'est parce qu'en écrivant, je songe que tu peux frapper à tout moment. Toi, je n'ai pas arrêté de te tutoyer longtemps tiens. Bipolaire, thyroïde, on a tous des problèmes. 
Allez, frappe. 
Frappe, frappe, frappe.
Frappe et embrasse-moi encore,
Aux anges, à travers les ténèbres,
Frappe, c'est presque une prière.
Remontre moi comme le réel est imposture.
Je me fous de redescendre toujours un peu plus bas,
Je veux remonter encore un peu plus haut. 
Frappe, et partageons l'ivresse.
Sois pas ridicule, donne lui raison,
Puis parce que sinon, j'suis ridicule.
Allez, frappe.

"Des fois je crois que c'est le chat, c'est un merle, des fois je crois que c'est un oiseau, c'est un oiseau, je suis comme ça." 



Je t'expire & tu m'inspires, c'est plutôt correct. Une muse, du thc, on se laisse porter par la sournoiserie de l'extériorisation, mais assumons, "Si ça s'est passé comme ça, c'est que ça devait se passer comme ça" disait un vieux frère. Now I’m living in a dream, and I don’t think I’m ever gonna wake up... ♫



A riot, suggesting, alone I’m protesting
There’s no one here standing, no loopholes, no branding
There’s no one here standing, no loopholes no branding


Don’t look here, too graphic like people, like plastic
Don’t look here, too graphic like people, like plastic
So dance in the madness, oh lord did you plan this?
So good to the madness, oh lord did you plan this?

I stand alone and curse at the sky
I stand alone beside you
I’ve never felt so alone in my life
Baby I stand alone beside you

So long flash, so long 
  Fuck your ghost


20h48, il n'y a pas d'heure pour se perdre. État second manifeste, quoi d'autre? 
Ce que c’est long une vie, ce qu'on peut se mettre comme coups derrières les carreaux, pendant tout ce temps. Si ça se trouve, un jour, nous serons vieux.

"La connerie, c'est pas plus con que le reste."
Down down to hell
It's raining, it's raining
on my wings
Down to your hopes
it's raging it's raging, 
like a storm,
tell me your reasons
your silence is too loud
Show me the seasons
if we stay till the end
and we'll come again
if you hold my hand
tomorrow no sorrow

Down on my knees
i'm waiting, i'm waiting
for your hand
Down to your hopes
it's raging it's raging
like a storm
Hold me and whisper,
and whisper all your fears

Down down to hell,
it's raining it's raining
on my wings
Down on my knees
i'm waiting i'm waiting
for your hand

I want it loud
I want it loud
I'm flying high,
Tonight.
Soul burn got soul brun
Thre's no need to cry
So hurt I'm so hurt
There's nothing in your eyes
It's a shame, I can't bear
The reality you hide
Is it fake when you say
That you're sorry deep inside?
You break me down

Soul burn got soul burn
got nothing else to try
Messed up
I'm messed up
Still falling from your sky
Do you think I'm the king
of your loveless empire?
Can you breath in the heat
of this cold atmosphere?
you break me down

Cos'I don't wanna brave
the fear in your heart
and I don't wanna taste
your empty desire
just wanna make a stand.



 Un polonais se met à chanter, et tu fais enfin une apparition, Équilibre. Quel plaisir que ton étreinte imprévue. Je sais bien, ce que tu me chantes là. Je vais tenir mes démons en laisse, et revenir sur le chemin le plus court.  


Merci à ma collègue sorcière, petit lion de Lumière, pour ce coup de pouce. Si l'on déchiffre ce petit taureau polonais, l'on n'est pas surpris. Cisza : Silence. "Tempérance", aurait dit Miss Mojo, puis il est 21h48.


Silence:

I'm sitting in the evening, overwhelmed with my blissful silence,
they can't hear, and I am like in trance.
These simple sounds are swaying me,
clouds are hanging over me,
everything is so simple and paradoxical...
So pleased, I'm giving my happiness everywhere today,
I'm smiling again,
knowing that everything will be ok.
Lost in the crowd, wanting to find myself in this rush,
I'm building my life on love's foundation...
These moments are with us
and no one will take them away from us, until we will
continue to be the same,
and with happiness we will explore every new day.
These moments are with us
and no one will take them away from us,
no one will...
They're listening but they can't hear, between the sky, and silence, we meet each other,
they're looking but they can't see, they're sneering at your happiness,
they only come when they're in need...
Silence around me, darkness falls,
And I'm still listening to it.
My heart with it's rhythm strongly assures me,
that it's worth believing in people...
Remember that hope feeds, but doesn't make you fat,
the doors to happiness are opened, don't search for the keys
your angel wants to wake your faith up.
These moments are with us
and no one will take them away from us, until we will
continue to be the same,
and with happiness we will explore every new day.
These moments are with us
and no one will take them away from us,
no one will...

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