mardi 19 janvier 2016

"Vraiment riche celui qui porte dans son âme plus de rêves que la réalité ne peut détruire."




I’ll put you on my back, you won’t know the way is long
The moon moves slowly over but surely crosses town
When you’re rich you are hated, when you’re poor you are despised
Drink the tears of my earthlings, eat the apples of my eyes

Push off into the river - keep your head above the water
You don't become a chief by la la lounging in the big chair
A lazy lion kills no game
If you don’t stand for something - you’ll fall for anything

We fight hard / to retain the vision
Embrace scars / in the realm of speculation
When fast cars / don’t equal Destination
And perception is a door / through the mind to liberation

Te lo juro, amor
Somos muy quilomberos, vos y yo
Aunque la vida a veces parece muy corta
Somos Serpientes Cósmicas
Y vamos a descontrolar la Eternidad

There are millions like me
We walk slow, lay low, take it easy
With our eyes we see
Interplanetary
And I love you baby
From the depths of the sea
Seems you just want to see
How far back you can push me

I look upon the Earth - morning moisture hits my sails
Take a trip on any ship - not every anchor will prevail
You're my harbor, i'm your dock - reel me in when waves wash high
Let the harpies tempt our bodies - let the sirens woo our minds 

S'ils étaient partis, voilà les 48 revenus. Aurait-il commencé, le compte à rebours? Et si la réalité était simplement absurde? Alors je me jetterai dans les bras d'une logique impossible, remettant des années d'analyses en question, changeant à jamais le chemin de mon existence, l'Enfer. Mais d'un autre côté, s'il y avait un sens? Alors je plongerai dans un puis de lumière sans fond, annihilant l'angoisse et l'incertitude, et m'évanouirai probablement de satisfaction. Et soudain, j'ai peur. Peur de ne plus vouloir attendre, que ça soit trop tard puisqu'il se peut que rien n'ait de sens. Tout est possible, c'est superbement effrayant. Pas comme ces points de suture qui me narguent sous le pansement, eux sont répugnants. Pas mal de sang coulé pour quelques jours de vacances & déboires amoureux au cœur de tous les dialogues intérieurs, qui montent rapidement dans les tours cette semaine. Les étoiles filantes m'ont évitée chaque nuit, et ce n'est peut-être pas plus mal parce que je n'aurais pas su dire. Je crois qu'à trop vouloir en faire, je me galère maintenant à garder la maitrise des évènements. Ce que je veux? Mais, tout, le grandiose, le suprême. Je veux ce qui ressemble à l'impossible, ce qui ressemble à ce que j'ai à offrir.
En attendant, je travaille ces jours-ci sur quelques dénis. Non, les gens que j'aime ne s'éloignent pas un à uns, non je ne commence pas à m'attacher à un scorpion, et non la réalité n'est pas absurde mais bien logique et rationnelle. Il faut avouer que deux chatons, des amis et du cannabis aident à voiler les malheurs quotidiens. Dans la pièce d'à côté ma chère Durite rêve déjà alors qu'insomniaque je me demande si un tout petit verre de Jägermeister ne serait pas recommandé dans ce genres de situation pour créer le cocktail gagnant.
On s'enflamme, se lance, et après qui sait ?



"C'est ça le problème avec la gnôle, songeais-je en me servant un verre. S'il se passe un truc moche, on boit pour essayer d'oublier; s'il se passe un truc chouette, on boit pour le fêter, et s'il ne se passe rien, on boit pour qu'il se passe quelque chose." Bukowski



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